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Category AINSI VA LA VIE › Je ne suis pas parisienne, parisienne, parisienne...

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Visite et petites histoires de l'Opéra Garnier

jeudi, juillet 18 2013, par Miaou

Rentrée de vacances, j'ai des tas d'articles en attente mais je commence par la fin : une visite de Opéra Garnier ce jour.

Si je vous dit Opéra, vous pensez à quoi ?
Quelques copinettes de mon age ont répondu " L'Age Heureux" un feuilleton des années 60où la télé n’était pas encore en couleurs. Ce feuilleton faisait découvrir l'Opéra de Paris avec ses petits rats, la rigueur de la discipline, l'amitié et la jalousie et o n y découvre le Paris de ses années là avec ses poinçonneurs dans le métro,

Pour la séquence nostalgie, voir cette vidéo .
Il y a des photos du net (avec source) et les miennes. Les photos d'ensemble ou d’intérieure que j'ai prises n’étant pas adaptées.

photoWikipédia

Louis XIV « le roi Soleil », qui aimait la musique et la danse, décida que ces arts devaient être présentés au public : l’Opéra était né.
Il y eu d'autres "Opéras" , qui eurent des sorts malheureux pour la plupart.
Napoléon III décida de la construction de celui-ci en 1859.
L'Opéra Garnier ou Palais Garnier fut confié à Charles Garnier, jeune architecte, en 1861. Il achèvera son travail en 1875, mais pour autant l'Opéra ne sera jamais vraiment terminé. C'est un monument représentatif du Paris redessiné par Napoléon III et le préfet Haussmann.

L'Opéra a une structure de fer habillé de marbre et de pierre.
En creusant les fondations, on découvrit un terrain marécageux qu’il fallut assécher avec des pompes. Pour rendre le bâtiment étanche, on le construisit sur une grande cuve remplie d’eau, ce qui donna naissance à la légende du lac et du fantôme.
L’édifice est surmonté d'un dôme en cuivre oxydé, donc vert de gris, surmonté d'un Apollon levant sa lyre d’or » entre « la poésie » et « la musique » sculptures d'Aimé Millet.
Les groupes en bronze doré à droite et à gauche représentent la Poésie et L'Harmonie

Carpeaux_Jean_Baptiste_Opera_Garnier_1866.jpg

source Opéra Garnier

Entre autre sculptures ornant l'extérieur de l'Opéra, ce groupe est remarquable par son histoire. Il s'agit de "La Danse" du sculpteur Carpeaux, qui a beaucoup travaillé dans cette aventure que fut la construction de cet édifice avec son ami Garnier. Ce groupe sculpté fit scandale.
La guide nous a demandé de deviner la raison du scandale. Les bourgeois du siècle allèrent jusqu’à dire que "Jamais il ne mettraient les pieds dans l'édifice si ces statues perduraient". La commune aidant (la révolution de Paris) les statues restèrent.
Nous n'avons pas trouvé la bonne réponse : ce n’était pas lié à la nudité, au cache sexe ou autre. What a shame ! les muses SOURIAIENT ! Elles devenaient ainsi des "femmes de mauvaise vie" et laissait penser à un lieu de débauche.
Belle hypocrisie quand on sait que ces dames , le spectacle fini, retournaient chez elles se "reposer" tandis que ses messieurs restaient, à la recherche d'aventures galantes. Les moralistes de l'époque considèrent toutes les danseuses comme des femmes de petite vertu,


La "Rotonde des Abonnés" , vestibule circulaire, est décorée de colonnes de marbre et de mosaïques.

opera_Signature_.JPG
L'atmosphère est assez sombre . Le contraste avec les feux et les ors du théâtre devant être éblouissant.
Au plafond, la signature du monument. Il est écrit 1861 1875 et les prénoms et nom de l’architecte.

Le Grand Escalier est un des lieux les plus célèbres du Palais Garnier.

Navlet_escalier_opera.jpg

Escalier de l'Opéra à Paris deVictor NAVLET

Il est bâti en marbres de différentes couleurs, 33 sortes de marbres, exactement. Les degrés de l'escalier à double révolution mènent aux foyers et aux différents étages de la salle de spectacle. Ce grand escalier a 30 m de hauteur (pour qu'une impression de "grandiose" flatte l’Égo des bourgeois mondains.) Il mène à la salle de spectacle, aux salons et aux foyers
Le Grand Escalier est lui aussi un théâtre, théâtre mondain où se croisait au temps des crinolines un public choisi.
On allait à l’Opéra pour se montrer, pas pour écouter de la musique et suivre le spectacle. Les nombreuses glaces ont un rôle de faire valoir.
Après avoir monté cet escalier, on s'installe aux petits balcons surplombant et on commente robes à faux culs et chapeaux à plumes, à fleurs ou oiseaux les Hommes portent la queue-de-pie et le haut de forme, sans oublier la montre à gousset et la canne ( ou se cache une épée ou un flacon de liqueur, on ne sait jamais !
Le plafond est peint magnifiquement également. Le grand escalier était un lieu incontournable de la Vie Mondaine sous Napoléon III .

La salle de l'Opéra . Rouge et or, cette salle peut accueillir 2000 spectateurs.

salle_de_opera.jpg

Photo Lagarde

200 places ont été supprimées, car sans visibilité.
Le magnifique rideau de scène de toile peinte imite une draperie à galons et pompons or.
Les loges de coté, pour l’Empereur et l’Impératrice présente des muses, plus déshabillées d'un coté que de l'autre. Pourquoi ?
- Parce que l’Impératrice aurait demandé qu'on habille les muses qu'elles auraient vu, devant elle. :)
'Les fauteuils sont en velours grenat. Le rouge du velours sur les sièges et certaine cloisons est également une nouveauté au sein d’une salle de spectacle. traditionelement blanche, l’artiste voulait que la couleur flatte les spectatrices, elles-mêmes en représentation. Ainsi, il opta pour un rouge aux reflets rosés donnant sur le visage et les épaules plus de jeunesse et d’éclat. (source )
Vous pouvez meubler votre salons avec les mêmes, envions 1290 euros pièce. Cela existe en version chaise et fauteuil d'enfant

La scène pourrait contenir l'arc de triomphe " 5 m près de hauteur " nous dit la guide : 60 m de hauteur, dont 45 m de cintres et 15 m de dessous, 27 m de profondeur, 48,5 m de largeur pour 16 m d'ouverture de cadre.

La salle se compose de :

  • L'orchestre et le parterre
  • Les baignoires
  • Les loges, loges d'avant-scène et stalles
  • Les loges et arrières-loges
  • Les balcons
  • L'amphithéâtre
  • La galerie supérieure

Sans visibilité, la galerie supérieure, est destinée à l'origine aux mélomanes, aux élèves du Conservatoire ou aux compositeurs.


Le Plafond :

opera_plafond_entier.JPG
opera_plafond_details_3.jpeg
opera_plafond_details_2.JPG
opera_plafond_details_1.JPG Commandé par Malraux, le plafonsd a été concu par Chagall mais hors son autoportrait, il a été peint par ses élèves et au sol, car le plafond est fait de panneaux disposé à 60 cm de l'ancien plafond, toujours présent.

opera_plafond_chagall.jpeg

autoportrait de Chagall


opera_plafond_malraux.jpeg

Malraux dans la fenêtre

Malraux a commandité ce plafond et l'artiste lui a ainsi rendu honneur.
Son travail se divise en cinq sections de cinq couleurs différentes dédiées à différents compositeurs (vert pour Berlioz et Wagner, jaune pour Tchaïkovski, bleu pour Mozart et Moussorgski, rouge pour Ravel et Stravinsky et blanc pour Debussy et Rameau) et un anneau central où se côtoient Bizet, Beethoven, Gluck et Verdi. 220m² (source )
Marc Chagall, en reconnaissance pour la France, ne s'est pas fait payer son travail.

Au centre le lustre, gigantesque, en cristal et en bronze, pesant plus de huit tonnes. Autrefois au gaz, une personne allumait à la main les 300 lumières. Le lustre se relevait à l’époque par le haut. Désormais, le lustre descend une fois par an et on change toutes les ampoules.
Le 20 mai 1896, alors que deux mille personnes assistaient à la représentation de Faust, un contrepoids du lustre se décrocha, entraînant la chute de l’ensemble sur les spectateurs. Il y eut de nombreux blessés et une femme fut tuée.

ancien_plafond.jpeg

L'ancien plafond


Les Foyers richement décorés, était les lieux de promenade des spectateurs pendant l'entracte.

opera_Grand_Foyer.jpg Source

Miroirs et baies ouvertes sur les rues et l'avenue de l'Opéra accentue encore dimensions des galeries. Une copie du buste de Charles Garnier réalisée par son ami Jean-Baptiste Carpeaux à son insu, se trouve au centre du foyer, près d'une des fenêtres d'où l’on découvre la perspective de l'avenue de l'Opéra jusqu'au Louvre.
Toujours de magnifiques plafonds peints, des sculptures.
A l'époque, les théâtres étaient non chauffés, et le foyer comprenait deux cheminées .
Prolongement du Grand Foyer, la Loggia à claire-voie offre une vue unique sur l’avenue de l’Opéra.

opera_avenue.JPG

Vue de la loggia

L'avenue de l'Opéra est la seule avenue haussmannienne qui n'a pas d'arbres, ni d'enseigne lumineuse, hormis celle du pharmacien. Ce fut institué par décret. Garnier, jeune architecte, ne voulait point qu'un arbre masque son chef d’œuvre , que de la lumière n'altère l'éclat du Palais Garnier!
Ces lieux était réservés aux hommes, les femmes durant ce temps , recevaient dans leurs loges. Le jour de l’inauguration, la reine d' Espagne voulant se rendre compte de la magnificence des Foyers , brisa le tabou et d'autres femmes la suivirent. Les Foyers devinrent mixtes.

Envie de faire une fête "intime" avec vos amis parisiens ? Les lieux sont à louer et peuvent accueillir jusque 700 invités.

Rotonde du Glacier est fraiche et lumineuse.

opera_le_cafe.JPG

Le Café

Les tapisseries de cette rotonde de la Manufacture des Gobelins entre 1873 et 1874 représentent, dans l'ordre des aiguilles d'une montre à partir de la porte, Le Café, La Pêche, La Pâtisserie, Les Glaces, Le Vin, Les Fruits, La Chasse et le Thé.
opera_La_chasse.JPG

La chasse

Détails du plafond de cette Rotonde du Glacier .
opera_glace_plafond_1.jpeg opera_glace_plafond_2.jpeg

Il y aurait encore tant à décrire sur les lieux !
En vrac ... :

  • L'Opéra, c'est aussi a plus ancienne école de danse du monde occidental et aussi le berceau de la danse académique classique mondiale. Sa création remonte au règne de Louis XIV.
  • Le commanditaire n'a jamais profité des lieux finis.
  • Les glaces partout étaient pour que les femmes se contemplent à leur apogée.
  • Ce n'est que vers les années 30 que les spectacles se jouent dans l'obscurité : pour calmer les gens ! On venait à l’Opéra pour se montrer, pas pour le spectacle, et on y faisait "salon" en papotant.
  • A un certains niveau de la société, il se devait de louer une loge à l'année (tres cher) et il était indispensable d'y paraitre plusieures fois par semaine et de ne jamais la laisser vacante (meme en cas de maladie ou de voyage), ce qui pourrait laisser entendre que vous n'avez plus les moyens de la louer, donc les loges étaient sous-louées.
  • Le parterre à l'origine n'avais pas de siège, et les bagarres étaient fréquentes, donc des chaises ont été mise pour endiguer les rixes. Comme les sièges étaient plus confortables, les gens qui payait moins furent transférer au "poulailler"
  • Il y avait des filets en grillage sous le poulailler pour éviter que les projectiles n’atterrissent sur les spectateurs du bas.
  • Charles Garnier a écrit " Il faut là non seulement tâcher de faire de l’art, mais il faut surtout tâcher de faire de la science, et de la science la plus difficile de toutes, de la science sans exactitude et pleine d’imprévu ! Il faut penser à l’acoustique, bien que cela soit un peu dérisoire ; il faut penser à l’optique, à l’éclairage, au chauffage, à la ventilation ; il faut penser à la facilité des entrées et à celle des sorties, à la division des places, à des constructions difficiles, à des cloisons mouvantes, enfin à mille choses, toutes sont importantes, mais toutes se combattant et formant antagonisme."
  • Charles Garnier a été invité à l'inauguration en tant qu'invité payant !( environ 1200 euros actuel) L'architecte venait de passer 15 ans de sa vie sur ce projet qui a connu mille péripéties !!! Comme le directeur de l’Opéra était bien ennuyé de ce désistement, il a magouillé pour que d'autres sociétés d'architecte paye sa place afin que l'Opera ne perde pas d'argent !!! et Charles Garnier fut présent sans payer sa place.
  • La bibliothèque-musée, située dans la Rotonde de l’Empereur, rassemble de nombreux objets et ouvrages qui retracent le passé de l’Opéra depuis près de trois siècles et présente des expositions temporaires. On compte plus de 80 000 partitions et ouvrages et environ 25 000 maquettes, costumes et décors de spectacle.


  • Des ruches sont situées sur les toits de l’Opéra, qui produisent un miel délicieux grâce au pollen des fleurs du Jardin des Tuileries et du Palais Royal.

Et il y en a encore et encore ....


J’espère vous avoir donné l'envie de visiter cet endroit unique au monde.

Vu l'état de mon PC, que je viens de repasser sous linux et que j'ai débarrassé de winddaube 8, j'ai mis 6 heures à finaliser cet article : pas très douée la minette! (et je dois vous parler du limousin , de mes vacances, de mes amies et de leurs ouvrages, de mes en-cours, de ma cuisine, de l'expo Chappuzat, des boutons en corozo ... )
Pour en revenir à l'Opéra : Vous pouvez assister à des spectacles à partir de 5 euros et d’après notre guide, vers 15/20 euros , il est tout à fait possible de louer une place d'où on voit et entend correctement le spectacle.

BONNE FIN DE SEMAINE.

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Un blabla de "Rentrée".

dimanche, septembre 9 2012, par Miaou

Voici quelques nouvelles pour mes "fidèles" qui malgré la raréfaction de mes publications, me suivent et m'écrivent. Merci à vous.

Ma santé va bien, un régime particulier me donne une rémission spectaculaire, mes mains peuvent reprendre l’aiguille : imaginez ma joie !
Je m'habitue à la vie de "banlieusarde" et commence à me sentir " chez moi" face à l'Oise, appréciant toujours le spectacle des péniches qui voguent sereinement , passant sous le pont habillé pour l'été de bien belles potées de fleurs.
J'ai dans mes archives matière à beaucoup d'articles, mais point trop de sujets concernant les loisirs créatifs, plutôt des photos encore et toujours.

Au sujet des photos,les préférez-vous montées en diaporama ou postée une à une dans les articles ?


Pour ce qui est mon retour aux arts du fils, les ouvrages en cours et en attente depuis bien des mois vont m'occuper un bon bout de temps. Il y a aussi mon retard plus qu'important dans les anniversaires et Noël à préparer. Pourtant, il y a tant de projets tentant à chaque coin de la toile.

Que dite vous de celui-ci ?

Photo appartenant au blog Sewing Daisies qui a publié ce projet.


Merci à ALEXENVRAC qui a traduit le tuto; c'est sur son blog que vous trouverez les explications.

A très bientôt !

bonne_semainecouture.gif

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Je ne suis pas parisienne, parisienne , parisienne ...

vendredi, mars 2 2012, par Miaou

Rappelez-vous la chanson de Marie-Paule Bel :


Les paroles sont ici pour les curieux :http://fr.lyrics-copy.com/marie-paule-belle/la-parisienne.htm

Le métro, je maitrise. Paris ne m'est pas inconnu.
Paris, oui, mais j'habite Saint Ouen l'Aumone !
Je me souviens d'une "parisienne" exilée en Charente l'an dernier qui me disait : " en région parisienne, tout est ouvert tout le temps partout" Oui, les épiceries de dépannages en bas de chez moi, il y en a 3, c'est sur elles sont ouvertent de 17 h au petit matin, ... mais elles ne vendent pas de chaussettes !
Ce qui me pose problème, c'est de trouver le bon bus, le bon arrêt pour aller là ou je veux . (oui, oui, je connais les sites internet ad hoc , j'ai même un téléphone qui a un GPS, internet et tout et tout ...
Provinciale, j'vous dit :)
Ce qui donne une Miaou qui fait sont plus grand sourire pour demander aux "gens". "Gens" quivous répondent toujours gentiment, toujours serviables, c'est leur yeux qui disent : "elle sort d'où la P'tite Dame ?"
Quand aux tickets qu'il faut pour prendre le transport qui convient... Heureusement les agents de la RATP ou SNCF sont très compréhensifs : "Excusez-moi, je ne suis pas d'ici " Personne ne m'a encore répondu : cela se voit, ils sont gentils! :)

J'habite en plein centre ville et pas la peine de chercher à acheter une paire de chaussettes dans le coin, j'ai cherché !! Des banques, des restaurants,des loueurs de voitures, 1 Leader-Price, 1 lavomatic, 1 pressing, 1 garage, 1 carrossier, 2 pharmacies ,3 coiffeurs,3 agences immobilieres, 3 épiceries de "dépannage" , une moulinette pour faire la vinaigrette, un ratatine ordure et un presse purée !) Il faut juste que je prenne mes marques et ça y est , c'est intégré : les magasins se trouvent dans les grands centres commerciaux !!!!! Hors là-bas, point de chaussettes !

Je n'ai pas d'ouvrage à vous montrer.
Des tas de cartons ne sont pas vidés, je manque d'idées loger les choses, même si j'ai fait un tri drastique pour passer de notre F7 à ce F2 (bien grand pour un F2 quand même)
Pas encore de machine à laver, ni de four, nous dormons sur un matelas posé sur le plancher : je me sens redevenue étudiante, et finalement, sachant la chose temporaire, cette situation ne me déplait pas.
Pour revenir aux travaux d'aguilles, j'avais l'intention de ne rien entreprendre de nouveau et de finir les "en-cours", mais hier j'ai quand même craquer pour la revue SIMPLY VINTAGE n°2 et j'ai fort envie de "faire du neuf"
Vous pouvez feuilleter la revue ICI

noname_thumb_1_.jpg

Crédit photo : http://www.swingueaiguilles.com/


Feuilleté en kiosque, elle m'a seduit (et une revue de plus à caser dans mes deux Billy attitrées) Autant le premier n° ne m'avait pas emballé, autant tout me plait dans ce dernier paru.
SUZEL est passée à l'action (clic) et j'ai vu le mouton sur un autre blog, mais OOPS , j'ai oublié ! Un mouton qui va avoir beaucoup de petits frères , je le sens! C'est un ouvrage rapide et sympathique
Vais-je prendre l'aiguille ? Je vous raconte cela lundi au plus tard.

bonnefindesemaine.jpeg

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